Regarde moi, aime moi, sourit moi.
+Kwon Andréas/ Bang Elyas

16h30. Avec un petit soupire de satisfaction, Elyas voit arriver son collègue qui prend sa place sur la haute chaise des maître-nageur, près de la piscine. Il lui sourit avec gratitude avant de disparaitre un peu plus loin. D’un geste machinale, il va noter sur sa feuille de présence la fin de son service avant de retourner dans les pièces ou se trouvent les bains bouillonnants. L’asiatique y entre et y reste l’espace d’une demi heure, relâchant la pression de tout ses muscles. Ses yeux se ferment alors qu’il se détend. Alors qu’il se décide à bouger, ses pas le mènent sous la douche puis au vestiaire réservé aux employés ou il enfilent un slim noirs, des victoria bleus foncées et un simple débardeur blanc, sous un t-shirt plus ample. Sa casquette sur la tête, il sort alors et ère dans les longs couloirs du paquebot.

Elyas réfléchis alors à quoi faire, et un petit sourire en coin se fige sur ses lèvres alors qu’il pense à Andréas. Le barman est surement son passe temps préféré. Le blond se dirige alors dans le paquebots en direction du pont de l’amusement. En arrivant dans le club d’hôte, il s’arrête à l’entrée et observe les gens qui le regardent de la tête aux pieds. Il sait qu’il aurait pu faire partis de ces hommes qui assurent une bonne soirée à toute ses dames, mais il préfère de loin venir embêter Andréas quand bon lui semble. Et, n’oublions pas qu’être toute la journées aux bains donne l’occasion de se rincer l’oeil plusieurs fois par jour. Avec un sourire poli pour une demoiselle qui viens l’accoster, il la repousse gentiment dans les bras d’un hôte avant de se diriger vers le bar.

Il s’assoit comme si de rien était sur un des sièges confortable du bar, en face du barman qui se tient de dos, et laisse son regard parcourir son corps avec un petit sourire. Puis il se tourne et Elyas inspire profondément pour ne rien laisser paraître. Andy lui fait de l’effet, sans aucun doute, c’est le plus mignon de tout les garçons de ce bateau. C’est alors avec un petit sourire espiègle qu’il pose ses mains sur le comptoir et se penche un peu en avant pour attirer l’intention, jusqu’à dire « J’aimerais un cocktail s’il-vous-plait... un dont tu as le secret. » Mélanger tutoiement et vouvoiement pour troubler. Son regard se fixe alors intensément dans celui du barman. Les cheveux d’Elyas lui tombe un peu dans les yeux parce qu’ils contiennent encore trop d’eau, et les gouttes viennent s’écraser sur le comptoir sans faire de bruit. Le blond sourit à l’autre, ravi de le voir.

La fin de l’après – midi s’annonce, je me réveille doucement, ayant passé la nuit précédente à travailler. Je suis le barman nocturne du bateau. Je suis habitué à travailler le soir, à enchainé les heures de travail de nuit sans me prendre la tête. Je m’étire à mon réveil, massant mon ventre, puis mes paupières, baillant un peu avant de me mettre assis sur mon lit. Je me débarrasse de ma couverture, me rendant dans ma douche avant d’en profiter pour me laver, me détendre encore tout en soupirant d’aise en sentant l’eau chaude sur ma peau, qui me réveille doucement. Par la suite, j’en profite pour me laver les dents, me séchant les cheveux avant de m’habiller et ensuite, me coiffer. Simultanément, j’enfile mon badge, posant mon pass dans ma poche, je sors de ma cabine, accrochant mes clefs à ma ceinture avant d’accorder un sourire à mes collègues que je croise dans les couloirs. Me rendant au club par après pour ensuite aller enfiler mon tablier autour de ma taille sans pourtant passer le cordon autour de ma nuque, et poser la serviette sur mon épaule. Dos au comptoir et face à la montagne de verres sales, j’en profitais pour commencer à faire la vaisselle pendant que mon collègue de l’après – midi terminait son service. Je me sentais comme épier, mon corps frissonnait comme si l’on était en train de me mater. Soudainement, je termine mes verres et en me retournant, je l’aperçois. Mon sourire s’agrandit et je m’approche lentement de lui. Je dépose mon regard sur son visage, répondant à son sourire avant de fixer ses lèvres qui au même moment, me demande de le servir. Je rigole légèrement, déposant un verre face à lui, attrapant la bouteille de couleur bleu, en mettant une dose au fond du verre, y ajoutant des glaçons, pour ensuite y mettre une dose de vodka et remettant une dose de couleur bleu à la surface, faisant ainsi dessiner de jolies formes au milieu du verre, je lui dépose même une paille noire avant de lui déposer un carton sous le verre. Puis, on m’appelle au bout du comptoir, je m’avance, obéissant à leurs commande. Encore un sourire et me voilà à commencer ma soirée. J’enchaine les verres, déposant plusieurs petits verres, sortant les deux bouteilles de vodka pour les faire se croiser en remplissant les verres. Quant à la suite, je jonglais même avec les bouteilles et shakers. Ce n’est que deux bonnes heures plus tard que je le rejoins, lui recevant un verre car en général, c’est ce qu’il lui demande tout le temps. Je le regarde et me colle à mon côté de comptoir avant de croiser les bras sur ce dernier, approchant ma tête de mes bras avant de sourire de plus belle.

- Je suppose que tu vas une fois de plus attendre que je termine mon service, Ély’ ?

Lui demandais – je soudainement, impatient de savoir ce qu’il me dira, impatient de savoir ce qu’il fera puisque j’aimais l’aider. Car quand il quitte mon bar, en général, il n’a plus les idées claires et il sait à peine marcher droit sans aucunes aides.

Andréas, c’est le genre d’homme que tu es obligé de remarquer quand il passe devant toi. Grand, merveilleusement bien taillé avec un visage fin, qui montre la dureté et la douceur à la fin. Ses cheveux blond comme les tiens qui recouvre son front et qui mettent en valeur ses yeux bruns et profond comme un océans de sentiments. Clairement, il te chamboule le cœur comme la tête, tu n’es que sa marionnette face à tes sentiments dès qu’il s’approche. Ses mouvements te fascinent, son regard te transperce, tu es comme omnibullé par sa présence.

Tu décrypte le moindre de ses mouvements pour mieux t’imprégner de lui, et tu le remercis avec un clin d’œil et un sourire malicieux quand il pose le verre devant toi. Tu le bois en laissant ton regard suivre son corps. Sa soirée ne faisait que commencer, mais tu avais déjà hâte de le capturer et de l’avoir pour toi tout seul par un de tes stratagèmes préférés, attendre qu’il finisse son service. Tu sais qu’il n’est pas indifférent à toi, et c’est avec cela que tu joue pour provoquer sa curiosité. Alors que tu finis ton verre en te délectant du breuvage merveilleux et le bien qu’il te faisait dans le corps comme dans la tête que tu finis par te lever pour rejoindre la piste de dance qui se trouve non loin du bar. Ton corps se laisse porter par la musique mais tu n’as qu’une envie : sentir son corps près du tiens. Tu lances des coups d’œil furtif vers le bar mais tu remarques que ton barman préféré est bien trop occupé à servir ses clients pour avoir le temps de te regarder. Tu décide quand même de t’amuser, à porter de son regard, le temps que son service passe. Plusieurs demoiselles viennent danser avec toi, et tu leur sourit avant de leur accorder quelques minutes de bonheur. Après tout, tu faisais partis du personnel de ce bateau, et le mot d’ordre était de faire plaisir aux clients. Comment alors leur refuser cette danse qu’elles te demandent ? Tu ne peux, et tu t’efforce de leur faire plaisir avant de les conduire comme à ton habitude, dans les bras d’un de tes collègues qui fera alors son travail : les divertir le restant de la soirée. Quand tu juges que ton corps à assez laisser mouvoir ses formes sur la piste, tu reviens vers le bar et te rassoit à ton siège qui était resté vide, et tu es ravi de voir qu’il reviens de lui-même te donner un verre. Le choix de la boisson prouve qu’il commence à te connaître, et quand il se penche au dessus du bar pour te sourire de toute ses dents, tu ne peux t’empêcher de te pencher de ton côté du bar, un magnifique sourire sur les lèvres.
« bien sur que oui !... –tu fais une petite moue boudeuse avant de rajouter- le temps passe siiiii doucement se soir, dis moi que tu as bientôt finis... ? »

Que voulais dire ta question ? Tu n’en savait rien toi-même, mais tout ce que tu savais, c’est que ton corps, ton cœur et ta tête n’appelait que lui se soir. ton sourire se transforme en sourire enigmatique, et tu te penche un peu plus au dessus du bar, ne tenant sur ton tabouret que d’un pied, et viens sans gêne embrasser son front avant de te rasseoir sur ton siège. Tu prend alors avec un air angélique la boisson posée près de toi et tu la sirote à la paille en le fixant intensément. Tu le regardes alors enchaîner deux trois commandes avant d’agiter la main en sa direction, ton verre une fois vide car tu l’avais bu un peu trop vite, et tu l’attira près de toi en le regardant avec un grand sourire.

«Yaah... Ce cocktail est trop bon ! Tu m’en redonnes un ? ... Est-ce que le prochain tu le bois avec moi ? S’il-te-plaaaaait, pour me faire plaisiiir... » Tu penches légèrement la tête sur le côté pour accentuer se regard suppliant et angélique à la fois, fixant ton regard dans le siens. En croisant ses yeux, tu frissonnes comme presque à chaque fois parce que tu le trouves irrésistible, lui et son sourire.

Face à lui, j’étais comme tout émoustillé, comme si je me sentais plus frivole et sans retenu vis-à-vis de lui. Je m’empêchais jamais de me montrer tel que j’étais face à cette tête blonde que j’appréciais tant, voir même un peu trop parfois. Malheureusement, j’incombais aussi la responsabilité de mes clients, encore plus quand ce sont les membres du personnel. En un sourire bientôt suivit d’un second, je m’amusais à le détailler à mon tour, balayant de mon regard chaque recoins de son visage. Il n’y a pas à dire, j’adorais son regard, parfois, il en disait long même si je n’osais pas vraiment aller au plus loin dans mes réflexions. Soudainement, je fixais ma main avec ma vilaine coupure, baissant la tête, légèrement fatigué parce que j’enchaine à nouveau les commandes sans passer mes nerfs sur les bouteilles et les clients qui commençaient rapidement à devenir quasi bourrés. Tandis que d’un regard, je n’apercevais déjà plus ma muse, celle – ci étant partit se réfugier sur la piste de danse. D’un soupire las et mort d’ennui, je jetais un coup d’œil sur l’horloge, plus que trois quart d’heures. Même si, pour toi, la soirée avait déjà bien commencé, tu n’avais de cesse d’avoir hâte qu’elle finisse. Ce n’est que vers la fin de mon service que le maitre-nageur refaisait surface vis-à-vis de moi, me suppliant de terminer assez vite pour que je puisse le raccompagner. J’esquisse un sourire, me rapprochant de lui pour ramasser ses verres vides, quand soudainement, je sentais ses lèvres sur mon front. En temps normal, je l’aurais repoussé mais comme il s’agissait de lui, je restais à ma place, relevant ma main pour venir caresser sa joue et lui faire un clin d’œil. Je le regardais boire son dernier verre, avant qu’il ne me supplie de lui en resservir un autre. Je rigole avant de retirer mon tablier après avoir finir de tout nettoyer, fermant le côté du bar où je pouvais sortir pour que personne ne vienne voler les bouteilles, congédiant les personnes autour du comptoir pour enfin fermer les portes et remettre mon trousseau de clefs à ma taille. Tendant ensuite mon coude face à « La princesse de la piscine ».

-Hey, beauty queen, j’vais te ramener à ta cabine et tu vas me faire le plaisir de faire une bonne sieste, okay ?

Venant ensuite soudainement embrasser son front, l’amenant sagement à la cabine de son collègue, le gardant contre lui pour ne pas qu’il s’éffondre par terre, telle une crêpe.

Tu frissonnes quand il te fais un clin d’oeil. Son contact contre ta peau, sa main contre ta joue. Tu lui souris, ravi. Tu ne sais absolument pas quel heure il est, mais il semble tard puisque la salle se vide doucement, et ton collègue quitte enfin son tablier blanc pour te rejoindre de l’autre côté du bar. Tu sourit, tu t’approche de lui en même temps qu’il se rapproche de toi. Tu titubes car l’alcool est montée à ta tête, pourtant, tu te sens bien, car il est près de toi.

Tu fermes les yeux instantanément quand il pose ses lèvres sur ton front, et tu passe ton bras autour de siens, te tenant à lui, mais en profitant pour t’y coller également. Tu marches dans les innombrables couloirs avec lui, ta tête reposant sur son épaule alors que tes bras sont accrochés à son bras gauche. Tes pas ne sont pas très surs, mais tu sais que tu peux faire confiance à Andréas près de toi. L’effet enivrant de l’alcool te fais parler presque non-stop jusqu’à ta cabine, parlant de tout et de n’importe quoi, ne contrôlant pas tes remarques sur les personnes que vous croisez, sur ce que tu penses de tel ou tel personne, et tu ne te rend pas non plus compte de tout les compliments que tu lui adresses. Puis tu te rappelles du surnom qu’il t’as donné avant que vous ne vous mettiez en route, et tu rigoles tout seul en y repensant. «Beauty queen, c’est mignon mais c’est un peu femme quand même... tu veux pas plutôt m’apeller ‘mister so sexy that i love you so’ ? C’est pas mieux ?» ton regard se fait sérieux alors que tu relèves la tête vers lui. A son expression, tu éclates de rire et tu ouvres grâce à ton pass ta cabine, l’entrainant à l’intérieur sans se soucier de quoi que se soit.

Tu lui souris, de ces magnifiques sourires dont tu as le secret, avant de, enfin lâcher son bras pour te diriger vers une petite commode ou tu ranges toute sortes de choses. De la, tu sort une bouteille de tequila, et deux petits verres. Tu te retournes vers lui avec un regard malicieux. «tequila paf chaton ? Alleeeez, dis oui !» tu te rapproches alors dangereusement de lui après avoir posé les objets de ta convoitise sur la table, et pose les deux mains sur son torse, ou tu t’agrippes pour ne pas tituber. «Fais moi plaisir ! Et le premier qui arrive plus à paffe, il à un gage de l’autre...» La proposition était alléchante non ? tu ne savais pas encore quoi comme gage tu voudrais lui donner, mais vu les idées qui te passent par la tête en étant si près de lui, tu te doutes qu’elles ne seraient pas très... catholiques.

Tu ne te rends pas comptes de l’effet que tu me fais, Elyas, lorsque tu es ainsi coller à moi. Je te souris, embrassant ta joue alors qu’un ne nous fallait pas moins d’une bonne dizaine de minutes avant de me retrouver devant la porte de ta cabine. Une fois collé à la porte, je te regardais rire tandis que tu m’amènes dans ta chambre. Je te regarde incrédule, de manière innocente avant que je ne me mette à sourire à mon tout, me mettant ainsi sagement assis sur ton lit alors que tu me tends de quoi boire. Si bien qu’au premier verre, j’étais d’accord, mais le second, je le refusais. Je n’étais pas du genre à boire, encore moins quand j’allais bien. « T’es sûr de toi ? » Murmurais – je en retour, souriant lentement alors que je t’attrapais par les hanches, te tirant au-dessus de moi. Un seul verre et me voilà déjà saoul, voilà pourquoi je n’aimais pas boire, je ne supporte pas l’alcool, encore moins que toi. Je l’entraine à se coucher au-dessus de moi, pendant que mes lèvres s’attardaient sur ton cou, goûtant ainsi à ta peau, te la mordillant un peu. Glissant ainsi merveilleusement tes mains sur son dos, complètement captivé par ton regard, ton parfum… Lentement, je glisse mes doigts sous ton haut, moi – même mourant de chaud, je lève ma tête vers l’arrière, cherchant un peu d’air tout en fermant les paupières. Tu allais me rendre dingue, mais aussi, malade, à force…Je ferme doucement les paupières, rougissant davantage. L’idée de coucher avec toi me frôle les méninges, mon cœur bat terriblement vite, étant presque sur le point d’exploser alors que malgré tout, je venais doucement te voler un baiser. Complètement obnubiler par tout ton être, mes sens étant également réveillé lorsque tu posais ton regard sur moi…

Que fais-tu, à quoi penses-tu ? A rien si ce n’est l’objet de tes désirs, la muse de ton cœur, le soleil de tes journées. Tu bois ton verre en même temps que lui, le regard fixés sur ses iris. Il t’attires, il te fascine, il te fait du bien. Tu pose le verre à côté de toi quand tu sens ses mains sur tes hanches. Un frisson te parcours l’échine quand tu te sens tomber contre lui. Tes mains se place de par et d’autre de son doux visage, juste au dessus de ses épaules. Ton esprit est flou et ton cœur reste fou. Un soupire d’aise et de satisfaction s’échappe de tes lèvres alors que ses douces lèvres parcourent ta peau. Tes jambes fléchissent et tu sens son bassin contre le siens. Tu ne peux t’empêcher de gémir, ne contrôlant pas ton corps sous l’effet de l’alcool. Tu te rapproches alors de son oreille, et de tes lèvres mordille son lobe, venant murmurer avec une voix suave à son oreille « Premier gage... Ne me touches qu’avec tes lèvres ».

Tu sens ses mains sur ton corps, ses fins doigts parcourant ton torse. Tu ne peux t’empêcher de frémir à son contact. Ta tête tourne sous l’effet de l’alcool, mais l’effet d’ivresse viens aussi de ce doux parfum de bonheur que tu sens à ses côtés. Quand tu vois son cou se tendre et sa peau t’appeler, tu ne peux t’empêcher de venir lui mordiller la peau, posant ta marque sur son corps parfait. Pour faire en sorte que ce ne soit que ses lèvres qui te touche, tu viens emprisonner ses fins doigts entre les siens, les liants avant de ramener ses bras vers l’arrière, reposant les mains liées aux siennes de chaque côté de sa tête. Ton regard se plonge dans le siens, et un magnifique sourire étire tes lèvres. Tu viens avec une douceur folle prendre possession de ses lèvres, mordillant sa lèvre inférieur en lui jetant un regard de braise. Tu n’as plus conscience de rien, ton corps s’est totallement abandonné à lui, si bien que tu ne contrôles pas ce geste du bassin contre le siens que tu as.

Tu soupires un peu contre sa peau, et t’assois sur lui pour respirer l’air frais. Ton regard ne quitte pas ses yeux, son corps. Avec lenteur, tu délie tes doigts des siens et viens poser tes deux mains sous son t-shirt. Tu fais doucement remonter le tissus jusqu’à ce que la moitié de son torse soit découvert. Tu te penches alors en avant, reculant légèrement tes fesses sur ses cuisses, et viens embrasser chaque parcelle de son torse musclé. Ton souffle se fait chaud et ton corps tout entier réagis, et en redemande.

Un. Tous mes sens se mettent en alerte, me laissant pantois auprès de toi, avide d’envie de goûter tes lèvres, de te rendre le bonheur au même degré que le mien. Tu me fais rêver, tu sais. Toi et tes cheveux d’un blond platine qui me font littéralement penser à un ange lorsque je te contemple. Un sourire et me voilà partit pour la nuit, déplaçant mes baisers sur ton cou, te poussant sur le côté pour prendre place au-dessus de toi, dévorant, non, sans te faire mal, ton torse du bout de mes douces lèvres. C’est si exaltant, si enivrant de te sentir frissonner sous mes agréables baisers de mes lèvres douces, chaudes et un peu rosées. Même si tu m’ordonnes de ne te toucher qu’avec mes lèvres, je désobéis, venant ainsi compléter mes baisers sur ton torse avec mes mains, souriant entre deux baisers si tendrement offert sur ton corps parfaitement « sculptés ». Deux. Soudainement, je croise ton regard, tu lis en moi comme dans un journal intime dont la page est restée ouverte sur les seuls moments les plus importants de ma vie. Un sourire vient rejoindre le précédent, remontant mes lèvres jusqu’aux tiennes pour venir l’embrasser avec amour et tendresse. Cette douce chaleur qui se répand dans mon cœur, rougissant un peu alors que tu me mords la lèvre inférieur et que ton regard me fait littéralement fondre. Nos corps si proches font que je ressentais aussi bien ton envie aussi bien que la mienne, me faisant entrouvrir les lèvres, soupirant chaudement contre les tiennes…Trois. Des frissons plus violents encore parcourent toute mon échine, me faisant à nouveau, cambrer sous ton corps, car entretemps, nous avions échangé une seconde fois, nos places respectives. Tu me regardes comme si tu me déshabilles qu’avec ton regard, mon corps frémis si bien que mon membre, lui – même, montre déjà des signes comme quoi il se réveille, rendant mon boxer encore plus étroit. Tes mains sur mon torse me faisaient littéralement fondre, tandis que les miennes viennent caresser tes joues en douceur. Alors que tu commences doucement à me déshabiller, j’en profite pour te suivre du regard, rougissant en voyant et sentant tes lèvres se fondre sur ma peau quasi blanche, voire très peu coloré contrairement aux autres personnels du bateau. « J’ai….J’ai chaud… » Quatre. Donc voilà où nous étions, maintenant. Deux beaux garçons qui, dans peu de temps, rendront la pièce torride et l’air étouffante, car nos corps s’embrasent pendant que l’on continue de s’embrasser avec tendresse, amour et délicatesse.